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Ayez un plan

Vous devez en effet savoir ce que vous voulez. Entre optimisation fiscale, optimisation patrimoniale ou préservation de l’entente familiale, les objectifs de chacun sont différents et nécessitent une approche sur mesure.

Comprendre les enjeux 

Personne n’aime envisager un décès mais peu importe l’âge, ce sont surtout les conséquences liées à un décès qui sont importantes à envisager :

  • Conséquences fiscales : de quel montant de droit parle-t-on ?
  • Conséquences financières : mes héritiers feront-ils face à des difficultés financières si je décède demain ?
  • Conséquences familiales : des protections spécifiques ou mesures spécifiques doivent-elles être prévues pour protéger un mineur ou encore garantir l’entente familiale ? 

Que faire une fois que vous vous êtes posé ces questions ? 

  • La matière est tellement large et complexe qu’un accompagnement est bien souvent primordial. Spécialistes en planification successorale ou notaires peuvent vous aider en la matière. 
  • Cet accompagnement doit s’accompagner des éléments suivants :
    • Faire un audit de votre situation personnelle et patrimoniale. Le but étant de chiffrer les enjeux et vous faire prendre conscience des conséquences civiles, fiscales et pratiques d’un décès
    • Établir un plan d’action personnalisé. Chaque situation est différente et mérite une approche sur-mesure
    • Évaluer vos besoins financiers. Une bonne planification successorale consiste avant tout à vous apporter sérénité et tranquillité financière. Protéger vos besoins est donc la base pour envisager ce type de démarche. 
    • Appréhender les différents outils à votre disposition, comme : 
  1. Contrat de mariage, essentiel à analyser et surtout éviter les clauses pièges qui protègent mais coûtent énormément en succession.
  2. Testament, outil simple et pratique. A rédiger, dater et signer de la main 
  3. Assurance-vie, le couteau suisse de la planification successorale. Ce type de placement/protection permet d’envisager de multiples solutions de planification dans un cadre national et international
  4. Donations, le plus connu, sans doute le plus simple et peut-être le moins bien utilisé
  5. Pacte successoral. Nouveauté apportée avec la réforme du code civil. Ce pacte est principalement utile si vous craignez des mésententes familiales après le décès. 
  6. Mandat de protection extrajudiciaire. Il se passe devant notaire et permet d’encadrer très précisément les personnes qui pourront agir en votre nom et les actes posés en cas d’incapacité. 
  • Prévoir de la flexibilité dans vos solutions car tout évolue. Vos besoins, votre cadre familial et personnel ainsi que la législation sont tous des aspects qui sont en constante évolution.
  • Faire un suivi régulier avec votre conseiller. Prévenir c’est guérir.

Pour toute question supplémentaire sur la bonne manière de planifier votre succession ou besoin de conseils personnalisés, n’hésitez pas à contacter les experts de chez Pareto.