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Pour ce qui est de la couverture décès, plusieurs options sont possibles :

  • Recevoir uniquement le montant épargné : donc pas de couverture décès supplémentaire ;
  • Prévoir un capital décès fixe, en plus du montant épargné ;
  • Prévoir un montant minimum assuré en cas de décès. Ainsi, la plupart des contrats stipulent que, dès l’instant où le montant épargné dépasse le montant minimum assuré, vous recevez la réserve d’épargne.
  • Prévoir un montant supplémentaire distribué en cas de décès par accident. Par exemple, il est possible de prévoir, en cas de décès, une distribution du double du montant prévu pour la pension.

Pour ce qui est de l’incapacité de travail, vous pouvez choisir parmi les options suivantes :

  • Prévoir une exonération des primes : en cas d’incapacité de travail, le plan d’épargne sera poursuivi et payé par la compagnie d’assurance.
  • Prévoir une indexation de la rente en cas d’incapacité de travail, aussi appelé le « revenu garanti », ou encore « l’assurance chiffre d’affaires ». Il s’agit du versement mensuel d’un certain montant assuré en cas d’incapacité de travail des suites d’une maladie ou d’un accident.
  • Prévoir des prestations temporaires en fonction de certaines maladies.

Ces assurances complémentaires nécessiteront le paiement d’une prime supplémentaire qui, elle, ne sera pas épargnée. Cette prime servira en fait à couvrir le risque ciblé, comme c’est le cas pour les assurances traditionnelles.

L’assurance hospitalisation, en revanche, est un contrat distinct qui n’est pas considéré comme une assurance complémentaire. Souvent, les employés bénéficient de cette assurance via leur employeur et le reste de la famille de ceux-ci peut parfois également y adhérer. Les travailleurs indépendants devront, eux, en prendre l’initiative d’eux-mêmes.

À qui s’adressent ces assurances complémentaires ?

Les assurances complémentaires peuvent être utilisées par tous ceux qui épargnent par le biais d’une assurance-vie et qui souhaitent en plus protéger leur famille, voire s’assurer une meilleure protection pour eux-mêmes. Les indépendants (entrepreneurs individuels ou chefs d’entreprise) sont plus susceptibles de devoir y recourir notamment car la protection en cas d’incapacité de travail est beaucoup plus faible que pour les salariés ou les fonctionnaires. Pour les employés, elle est parfois incluse dans l’assurance groupe, mais de plus en plus d’employés souscrivent à une assurance supplémentaire pour eux-mêmes.

Quand puis-je prendre une assurance complémentaire ?

Il est préférable de vérifier d’abord ce que prévoit déjà la sécurité sociale dans chaque situation. Notre sécurité sociale fournit d’emblée des prestations en cas de maladie, d’hospitalisation, d’incapacité de travail, de chômage, de retraite, parfois en cas de décès, …

Par exemple, les fonctionnaires permanents reçoivent souvent une indemnité presque égale à leur salaire normal en cas d’incapacité de travail, de sorte que leur besoin en assurance est moindre, sauf pour ce qui est du décès et de l’hospitalisation.

Si vous estimez que les prestations de la sécurité sociale ne sont pas suffisantes dans votre situation, vous pouvez toujours souscrire à une assurance complémentaire. L’objectif ultime est la tranquillité d’esprit et, bien sûr, un bénéfice si le risque se concrétise.

Vous trouvez tout cela complexe ou déroutant ? Vous souhaitez avoir un partenaire de discussion pour examiner votre situation plus en détail ? N’hésitez pas à contacter Pareto pour obtenir de l’aide de nos consultants qui vous guideront dans vos démarches.